Acclimatation

Ve 28/08/09, Delhi 2, BQ :750 IR [rapl 1 euro = 68 roupies indiennes]
Je me rince de cette chaude nuit et change de chambre des mon reveil (ce sera + trankil la-haut et la fenetre n'est pas desagreable). A l'"Everest Cafe" je deguste longuement un crumble a la pomme avec un citron chaud hist de mettre tt de suite mon corps a temperature ambiante ! Je pars sur Connaught pl pr chercher des tarifs pr le Japon, ms les agences st peu cooperatives. De retour ds le quartier des routards, je bois frais chez Madan, ki m'aiguille sur le visa jap'. Je n'ai ke le tps d'emailer 30' avt la 1ere coupure d'electricite de la journee ; je fais une pose sous le ventilo avt la 2eme ! Des Coreens -(delit de facies) j'ai perdu, je cherchais des Japonais !- que j'ai arretes ds la rue  ont ete en mesure de me localiser Japon Airlines, je repars dc -encore une fois- a l'opp de Connaught pl en tentant d'eviter tous les guet-apens humains qui gravitent a l'affut du 1er tourist perdu qui passe...pas facile ! La compagnie aerienne japonnaise est HORS de prix (presque 800E pr 1A/R Delhi /Tokyo) MAIS Indian Airlines a des offres + attractives...je me laisse du tps pr Recheflir ! Je passe par la gare, reserver une couchette pr Trivandrum et vais savourer mon dal-bhat nepalais a l'Everest ; j'y rencontre Jay, Krishna et Simon. Le 1er est un bel artiste (dragueur previsible), le 2eme est -ds le desordre- gentil, indien, begue, polyglote, musicien... et le 3eme est Nepalais, c le proprio de l'Everest Cafe. On passe un bon moment a discuter et je prolonge un peu hist de profiter du "concert" improvise par Krishna et un percutionniste nepalais (cousin de Simon). Je rentre trier mes cartes postales dvt la TV.

PS je vous ajouterais volontiers des photos mais je n'ai pas le cordon (perdu ? Miss tete-en-l'air !) et je crains les virus si je mets directement la carte memo ds l'ordi ... patience, je vais trouver une solution !

PS 2 : Contrairement aux propos d'un reportage vu a la TV francaise sur les cow boy de Delhi, toutes les vaches n'ont pas disparues du paysage urbain et contemporain de la capitale ; elles occupent encore l'espace de Pahar Ganj, essentiellement la nuit, ce qui est un compromis positif pour tous (fermiers, tradition ET traffic !)...Par contre, je l'ai deja dit ms je suis frappee par la quantite de chien des rues (il n'y en n'avait pas autant -ici- avant, me semble-t-il !)